Rataklang, klong, badang, scrouitch !
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Le Gnac
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Re: Rataklang, klong, badang, scrouitch !
avec un bon fromage suisse
charlier- Age : 51
Localisation : liege.Belgique
votre monture : S1000RR (2010) BIG BALLS ONLY
Humeur : ‘I’m old, i’m fat, but i’m still fast’
Re: Rataklang, klong, badang, scrouitch !
charlier a écrit: avec un bon fromage suisse
Vi vi !!! après, tu sauras ce que ça veut dire "abaisser son centre de gravité" !!!!
MDR !
_________________
C'était beau, ça passait !
Le Gnac- Repère de Freinage
- Age : 58
Localisation : Genève, Suisse
votre monture : Nine-T Racer "spéciale" + K75 S
Humeur : Planquez tout, je suis de retour !!!
Re: Rataklang, klong, badang, scrouitch !
quoi comme ca
hummmmmmm la camarade schaft
hummmmmmm la camarade schaft
charlier- Age : 51
Localisation : liege.Belgique
votre monture : S1000RR (2010) BIG BALLS ONLY
Humeur : ‘I’m old, i’m fat, but i’m still fast’
Re: Rataklang, klong, badang, scrouitch !
Après la destruction de ma 400N, je me retrouve à pied et j’en profite pour passer le permis toutes cylindrées (A3).
Début 83, le nouveau permis en poche, je retourne au petit garage, aujourd’hui disparu, de Rethel où j’avais remarqué une Triumph Bonneville et une Honda 750KZ à vendre.
La triumph et son twin me plaît beaucoup, mais trop chère pour moi, je repars avec la Honda.
S’est lourd, ça ne freine pas et je passe mon temps à tendre la chaîne de distribution. Bref, une daube !
Un soir avec quelques copains ont traversent la ville pour aller boire un coup dans un petit bistro de campagne. Ca roule vite et dans un gauche je pose le pare-cylindre et paff sur le cul (8). La moto n’a rien, moi non plus.
En décembre j’ai pris ma décision, je vais acheter un R100RT. En route pour en voir un chez un agent BM je croise la trajectoire d’une femme qui se rend au cimetière en oubliant de s’arrêter au stop. Et PAN dans la portière(9). Bon maintenant il va falloir trouver un RT assez vite !
Début 84, un modèle 79 marron et or est dans le garage. Pas de chute, mais trois ou quatre glissades sans conséquences sur la neige lors de la virée aux Eléphants me décident à atteler la belle.
Le compteur tourne très très vite et je la remplace par une guzzi 850 LM III. Une seule chute, en allant bosser, une femme ne s’arrête pas au stop et REPAN dans la portière(10). Remise en état de la moto et l’envie de voyager aidant je la fais reprendre pour une autre Guzzi, un trail 650 NTX.
La 11ème se passe vers Soissons où à défaut d’y trouver le vase, j’y rencontre un idiot qui fait demi-tour en sortie d’un rond point. Et REREPAN encore une portière.
En 89, de retour chez BMW avec un proto que j’ai fourbi pendant l’hiver sur une base de 90/6. Enormément de bornes avec elle et peu de chutes.
Une dans les Vosges (12) dans un gauche où un orage a apporté tout un tas de graviers.
Une au Maroc en 90 à la sortie de Rabat(13) : En pleine ligne droite je perds le contrôle de la machine, ça part à gauche à droite, de l’avant et de l’arrière et je finis à plat ventre juste à côté de mon pote qui lui aussi s’est vautré avec son 600 DR. Un Marocain arrive << kan ya gasoil sur li rout, ti roul doussement !>>
Un conseil judicieux s’il en est, mais difficile de prévoir qu’une citerne de 30 m3 puisse s’éventrer sur la route !
Une en Turquie en 93 sur l’autoroute un peu avant Istambul (14). Nous sommes 4 sur 3 motos, on vient de s’enquiller 3000 km en deux jour et demi. La femme de mon pote (le même qu’au Maroc) me percute à l’arrière avec son 550 XT après s’être endormie. Pas mal de casse sur la bmw mais le voyage se poursuivra avec la fautive plâtrée (fracture de la main) sur la place passager de l’Africa Twin.
Puis plus rien pendant 10 ans, la prochaine étant en 2003. Mais là on entre dans la période 1100S que je raconterai plus tard
Début 83, le nouveau permis en poche, je retourne au petit garage, aujourd’hui disparu, de Rethel où j’avais remarqué une Triumph Bonneville et une Honda 750KZ à vendre.
La triumph et son twin me plaît beaucoup, mais trop chère pour moi, je repars avec la Honda.
S’est lourd, ça ne freine pas et je passe mon temps à tendre la chaîne de distribution. Bref, une daube !
Un soir avec quelques copains ont traversent la ville pour aller boire un coup dans un petit bistro de campagne. Ca roule vite et dans un gauche je pose le pare-cylindre et paff sur le cul (8). La moto n’a rien, moi non plus.
En décembre j’ai pris ma décision, je vais acheter un R100RT. En route pour en voir un chez un agent BM je croise la trajectoire d’une femme qui se rend au cimetière en oubliant de s’arrêter au stop. Et PAN dans la portière(9). Bon maintenant il va falloir trouver un RT assez vite !
Début 84, un modèle 79 marron et or est dans le garage. Pas de chute, mais trois ou quatre glissades sans conséquences sur la neige lors de la virée aux Eléphants me décident à atteler la belle.
Le compteur tourne très très vite et je la remplace par une guzzi 850 LM III. Une seule chute, en allant bosser, une femme ne s’arrête pas au stop et REPAN dans la portière(10). Remise en état de la moto et l’envie de voyager aidant je la fais reprendre pour une autre Guzzi, un trail 650 NTX.
La 11ème se passe vers Soissons où à défaut d’y trouver le vase, j’y rencontre un idiot qui fait demi-tour en sortie d’un rond point. Et REREPAN encore une portière.
En 89, de retour chez BMW avec un proto que j’ai fourbi pendant l’hiver sur une base de 90/6. Enormément de bornes avec elle et peu de chutes.
Une dans les Vosges (12) dans un gauche où un orage a apporté tout un tas de graviers.
Une au Maroc en 90 à la sortie de Rabat(13) : En pleine ligne droite je perds le contrôle de la machine, ça part à gauche à droite, de l’avant et de l’arrière et je finis à plat ventre juste à côté de mon pote qui lui aussi s’est vautré avec son 600 DR. Un Marocain arrive << kan ya gasoil sur li rout, ti roul doussement !>>
Un conseil judicieux s’il en est, mais difficile de prévoir qu’une citerne de 30 m3 puisse s’éventrer sur la route !
Une en Turquie en 93 sur l’autoroute un peu avant Istambul (14). Nous sommes 4 sur 3 motos, on vient de s’enquiller 3000 km en deux jour et demi. La femme de mon pote (le même qu’au Maroc) me percute à l’arrière avec son 550 XT après s’être endormie. Pas mal de casse sur la bmw mais le voyage se poursuivra avec la fautive plâtrée (fracture de la main) sur la place passager de l’Africa Twin.
Puis plus rien pendant 10 ans, la prochaine étant en 2003. Mais là on entre dans la période 1100S que je raconterai plus tard
flatsport- Coach
- Localisation : entressen 13
votre monture : R1100S R1100S piste R100 Dakar
Humeur : sportive
Re: Rataklang, klong, badang, scrouitch !
Allez Zou !!!
Je continue dans ma liste perso de galetouses !!!
On est je pense en 1991, je suis bien sûr toujours installé dans le cokpit de mon avion de chasse blanc nacré (et hop, une photo de plus rien que pour embêter les admins tout griffus !)
Mais bon, ce jour là, j'ai piqué la petite Yam' FZR 600 de mon frangin, c'est la seconde du nom, elle a dorénavant un double disque avant pincé par des étriers double-pistons (simple sur la première version, à l'époque c'était un luxe, les doubles !), bref, une petite chose énervée que je voulais vraiment tester correctement ce jour là... elle le sera !!
Pour ce faire, je fais le "parcours de patrouille" habituel, que je décris ici pour les béotiens et non-initiés, plus nombreux que "ceux qui savent" pour de bêtes raisons géographiques ! arf !
Depuis Genève, pour les arsouilleurs en goguette, il y a grosso-modo deux choix pour se trouver sa ration depotion magique virages, c'est soit aller emmerder les savoyards sur leur terrain (...), soit opter pour le Jura ! Sachant que je suis "rive-droite", le plus immédiat est le Jura ! Un truc bien cool à faire, c'est de "se chauffer" en montant le col de la Faucille (partant de Gex au pied du Jura et menant aux Rousses plus tard une fois le sommet atteint, ou au parc naturel du Haut-Jura, etc), effetuer "la liaison" qui va du sommet du col à "La Givrine" à la frontière suisse pour redescendre ensuite sur le bassin lémanique (bordant le Lac Léman, sots !) en passant par "Saint-Cergue" en direction de Nyon (au bord du Léman donc... pfffff.. y en a qui suivent, tapez ça dans viamichelin pour se rendre compte !!!)
A cette époque, la Faucille permettait de monter assez fort, car les trajos y sont plus "longues" que pour "Saint-Cergue", mais le revêtement était un peu capricieux, réservé à des connaisseurs donc pour y aller vite ! voire très vite en fait... depuis, il y a un beau revêtement sur 75% du tracé... mais je n'habite plus à coté, Grrrr ! Ensuite, celui (de revêtement) du parcours de liaison était purement calamiteux, il l'est encore et en plus c'est généralement à l'ombre, ensuite on se retrouve sitôt passé la douane sur un véritable billard... c'est pas de la pub nationaliste c'est comme ça...
Ce jour-là donc, je m'apprêtais à rejouer une n-ième fois cette partition, mais au guidon d'un engin affichant 16cv de plus que ma ma K75S, et presque 30 kgs de moins !! Si !
Alors je pars tout réjoui à l'idée de faire subir les derniers outrages à cette salope de petite japonaise émettant de petits cris stridents dès qu'on la tire correctement (...), mais on verra que ce faisant, "j'oublie" légèrement le différentiel consistant à ouvrir les gaz de la même façon qu'en K75 mais avec un ratio si différent entre les jambes !!
Pour l'heure, tout se déroule bien, de là où j'habitais, à peine 15 minutes suffisaient pour être à l'amorce de la Faucille, le temps de chauffer l'huile, tout ça... dans la montée de la Faucille, c'est la bête qui se chauffe, de sorte qu'arrivé en haut, on est généralement bien en forme, homme et machine, à peine dix minutes à "subir" la mauvaise liaison en haut, mais sans que cela "refroidisse" l'ensemble toutefois, je me retrouve donc sur la portion "circuit local à l'attention spécifique des champions du monde.. et des environs" ! Car oui, on connait tous ces fameux "points de chutes" (aïe, au propre comme au figuré !) préférés des motards à la recherche des "bons coins" pour allonger les brins de câbles ! C'en et un, malheureusement tout aussi connu des assureurs, des gendarmes et de l'hôpital local en contrebas.. ou même du dépanneur qui s'y enrichit !
J'ai donc déjà parcouru environ 60% de la descente du "Saint-Cergue", arsouillant comme un porc, tout seul sans distraction ou "opposant" du jour, tout se passe bien donc... insouciance de la jeunesse, tout ça !
En réalité, je n'ai commis aucune "erreur de pilotage" au sens strict du terme... sauf que j'étais proche des limites puisque j'arsouillais comme un beau diable, et hormis que je n'étais pas sur ma brêle habituelle, rien ne se passait mal ou pouvait laisser penser que cela pourrait mal se passer, c'était même à des heures plutôt désertiques, tout ça... !
Mais il se trouve que j'ai placé une léchouille de frein AV pour me placer en entrée d'une très courte courbe, sur un de ces damnés "serpentin" de bitume mou, dont le rôle est de colmater les fissures pour empêcher à l'érosion et au gel de poursuivre leur travail !
J'avais beau être déjà passé à cet endroit un nombre de fois dont la morale réprouve le décompte ou sa simple évocation, ce jour là, je suis passé à quelques centimètres près à un point précis où "non, ça le fait pas" !!!!
J'estime la vitesse résiduelle de l'ensemble "moto + pilote" en pleine glisse par terre à 60/70 kmh à cet endroit, en comptant un léger ralentissement une fois plus sur les roues, après avoir traversé le reste de la chaussée après avoir perdu l'avant avec une soudaineté qui m'a laissé pantois, et par terre !
Ce faisant, la FZR a passé entre la glissière et le sol, changeant un peu ses côtes de largeur au passage et allant terminer sa course une quinzaine de mètre en contrebas dans les arbres... Mais moi je me suis arrêté net sur la glissière, mon dos se chargeant de ça !
Quelques secondes plus tard, je retrouve mes esprits et crache un peu de terre... et me retrouve donc l'air assis au bord de la route.. c'est ainsi qu'un automobiliste bienveillant me trouve, et me propose de me déposer quelque part... poussé par cet instinct aussi curieux qu'irrationnel consistant à se préoccuper plus de sa moto que de soi-même dans pareille situation, je demande à cette personne de me déposer chez le "dépanneur officieldu circuit du coin" afin d'aller récupérer la moto !
Une fois arrivé à nouveau sur place avec le dépanneur, celui-ci me suggère de pousser pour garder la moto sur ses roues durant le treuillage (ben, oui, c'est un col, c'est pas plat après la chaussée, les belges peuvent pas comprendre ! MDR) afin de sauver ce qui peut l'être !! Ce que je fais, poussant comme un beau diable de toute mes forces... plusieurs jeunes gars bien intentionnés sortis d'une bagnole viennent me prêter main forte sur les derniers mètres, et me proposent à leur tour de me déposer quelque part...
Je leur demande cette fois de me poser à l'hosto' pour un "check", sait-on jamais... et puis c'est vrai que le temps passant, en refroidissant, ça devient tout de même un peu douloureux, "là derrière"...
Alors hop, admissions, légère attente, puis on vient s'occuper de moi; je ne vous ai pas encore dit la dégaine que j'avais, arf !
A cette époque héroique, on ne peut pas dire qu'on était aussi sensibilisé qu'aujourd'hui sur la qualité de l'équipement... ou de sa présence... ! Oh, j'avais bien "ce qu'il faut" à la maison, des bottes, un cuir, aussi pour les jambes, tout ça.. mais ce jour là, pour un "petit coup" en passant (décidement, les allusions sexuelles sont inévitables dans un récit motard !) j'étais plutôt en tenue légère !
C'est-à-dire en pantalon coton "de ville" léger, T-shirt, petit pull coton le tout recouvert d'un cuir, mais qui n'avait rien de "moto", léger lui aussi et pour couronner le tout, de petites chaussures "Florence Arthaud" pour se ballader sur le pont d'un bâteau !
Cela n'a pas loupé, j'étais en charpilles, mais étonnament, alors qu'il devait bien ne rester que le slibard d'entier (sans doute pour que l'infirmière puisse l'arracher avec les dents !) je n'avais aucune blessure "de surface" !!! Dingue !
Alors bon, la toubib (oui, c'était un modèle femelle, Ghâaahhhhhh !!) m'ausculte un peu dans tous les sens, me palpe (Rhâaahh), bon après elle devient plus déviante, elle me sors un petit marteau pour me taper coudes et genous, salope, elle aurait au moins pu prendre des menottes d'abord, merde, bref elle mentionne toutefois que j'ai un joli arc-en-ciel dans tout le dos (des contusions pour ceux qui ne suivraient pas !) mais ne semble pas vraiment inquiète !
Sans plus de conviction que cela, elle finit tout de même pas me faire m'allonger (je le savais, chienne !) pour me passer des radios "par acquis de conscience"...
Avec tout ça, le temps continue de passer et je commence à avoir un peu de peine à remuer sans que cela devienne un véritable effort... je suis assis sur un petit lit lorsque à quelques mètres de là, observant avec attention les tirages des radios', elle me lance:
"dites-moi, vous avez eu déjà des chutes graves dans votre vie" ? Moi: "euh, à part que j'ai tenté l'escalier avec le déambulateur pour bébé, non, pas vraiment" "non parce que... venez-voir" enchaine-t-elle ! Alors moi, grimaçant cette fois pour la rejoindre devant la tableau lumineux, j'arrive et elle me montre: "tenez, là, par exemple, il y deux vértèbres collées, c'est très probablement depuis la naissance, mais voyez ces deux là, elles sont fracturées !!"
A cet instant précis, tout ce que vous avez toujours entendu dire sur "fracture des vértèbres" vous remonte à la gueule en un instant, comme un Tsunami !! La vérité étant qu'elles étaient certes fracturées (on distinguait la ligne de fracture) mais aucunement déplacées ! N'empêche, pour compenser le beau bleu-vert de mon dos, j'ai du passer au blanc soutenu tout de suite !!
Là, les choses s'enchainent assez vite, elle me dit que je vais rester sur place, deux infirmiers viennent me convoyer sur ce petit lit jusqu'à une chambre - vue coté lac et pas coté col, dommage... arf !! - pour me transférer sur un plus grand lit... mais avant, je les vois s'afférer... ils ôtent le matelas, pour le remettre après avoir posé une grande planche dessous, débranchent soigneusement les commandes du lit, celles qui le font bouger dans tous les sens... dommage, ils sont peu joueurs !!! Et finissent par m'y installer non sans m'avoir collé une minerve pour le compte... Pas encore trop le temps de cogiter, la toubib de l'accueil passe brièvement pour me dire que le docteur responsable passera me voir le lendemain matin.. et de me préciser: "il ne faut pas bouger d'accord !?"
Là, l'attente commence... comme nous sommes vendredi soir, ça a pas raté, le toubib n'est pas passé le lendemain... mais le jour suivant... alors le lendemain, une fois "tout-à-fait refroidi", j'ai pu constater que le conseil de la toubib était bien superflu: même si je le voulais, je ne POUVAIS pas bouger....
Je ne m'en étais pas vraiment rendu compte le soir avant, parce que bon an mal an, avec tout ça, je m'étais endormi assez vite.
Mais là... j'avais tout mon temps pour cogiter, comme un con dans mon plumard, tout seul à retourner dans tous les sens la portée de cette simple constatation: "je ne pouvais pas bouger"... et de repenser que c'était dû aux vértèbres fracturées... et aux suites possibles... (ils font des fauteuils en carbone avec freins à disques j'espère.. !?) (Ndr: rajout anachronique sur ce coup-là, arf !)
Il s'avèrera que c'était une réaction tout ce qu'il y avait de plus normale au choc encaissé, et qu'il n'allait y avoir aucune conséquence, ce que vous savez sinon je ne serais pas encore là à tirer sur une allemande...
Mais il reste que ces moments ont été assez... hum... voyez... peu agréables !
Vous imaginez sans peine le cortège de remarques toutes faites dans la famille, les "depuis le temps qu'on te dit que tu pourrais te tuer avec cette moto", les "cette fois ça va te servir de leçon.." et j'en passe...
Certes, la suite de la saison s'est déroulée avec un peu plus de mollesse que d'accoutumée, une fois capable de remonter sur la selle... Mais aussi, j'en ai été quitte pour poser 10'000.- balles (40'000.- Francs français à l'époque... la moto était à peine rôdée) sur la table de mon frangin... je crois qu'il est reparti ensuite de chez le concess' avec une V-Max si je me souviens bien.. arf !
Mais la suite donnera bien tort à tous ces "gâcheurs de métiers"... Arf... la suite, justement... au prochain épisode !
Je continue dans ma liste perso de galetouses !!!
On est je pense en 1991, je suis bien sûr toujours installé dans le cokpit de mon avion de chasse blanc nacré (et hop, une photo de plus rien que pour embêter les admins tout griffus !)
Mais bon, ce jour là, j'ai piqué la petite Yam' FZR 600 de mon frangin, c'est la seconde du nom, elle a dorénavant un double disque avant pincé par des étriers double-pistons (simple sur la première version, à l'époque c'était un luxe, les doubles !), bref, une petite chose énervée que je voulais vraiment tester correctement ce jour là... elle le sera !!
Pour ce faire, je fais le "parcours de patrouille" habituel, que je décris ici pour les béotiens et non-initiés, plus nombreux que "ceux qui savent" pour de bêtes raisons géographiques ! arf !
Depuis Genève, pour les arsouilleurs en goguette, il y a grosso-modo deux choix pour se trouver sa ration de
A cette époque, la Faucille permettait de monter assez fort, car les trajos y sont plus "longues" que pour "Saint-Cergue", mais le revêtement était un peu capricieux, réservé à des connaisseurs donc pour y aller vite ! voire très vite en fait... depuis, il y a un beau revêtement sur 75% du tracé... mais je n'habite plus à coté, Grrrr ! Ensuite, celui (de revêtement) du parcours de liaison était purement calamiteux, il l'est encore et en plus c'est généralement à l'ombre, ensuite on se retrouve sitôt passé la douane sur un véritable billard... c'est pas de la pub nationaliste c'est comme ça...
Ce jour-là donc, je m'apprêtais à rejouer une n-ième fois cette partition, mais au guidon d'un engin affichant 16cv de plus que ma ma K75S, et presque 30 kgs de moins !! Si !
Alors je pars tout réjoui à l'idée de faire subir les derniers outrages à cette salope de petite japonaise émettant de petits cris stridents dès qu'on la tire correctement (...), mais on verra que ce faisant, "j'oublie" légèrement le différentiel consistant à ouvrir les gaz de la même façon qu'en K75 mais avec un ratio si différent entre les jambes !!
Pour l'heure, tout se déroule bien, de là où j'habitais, à peine 15 minutes suffisaient pour être à l'amorce de la Faucille, le temps de chauffer l'huile, tout ça... dans la montée de la Faucille, c'est la bête qui se chauffe, de sorte qu'arrivé en haut, on est généralement bien en forme, homme et machine, à peine dix minutes à "subir" la mauvaise liaison en haut, mais sans que cela "refroidisse" l'ensemble toutefois, je me retrouve donc sur la portion "circuit local à l'attention spécifique des champions du monde.. et des environs" ! Car oui, on connait tous ces fameux "points de chutes" (aïe, au propre comme au figuré !) préférés des motards à la recherche des "bons coins" pour allonger les brins de câbles ! C'en et un, malheureusement tout aussi connu des assureurs, des gendarmes et de l'hôpital local en contrebas.. ou même du dépanneur qui s'y enrichit !
J'ai donc déjà parcouru environ 60% de la descente du "Saint-Cergue", arsouillant comme un porc, tout seul sans distraction ou "opposant" du jour, tout se passe bien donc... insouciance de la jeunesse, tout ça !
En réalité, je n'ai commis aucune "erreur de pilotage" au sens strict du terme... sauf que j'étais proche des limites puisque j'arsouillais comme un beau diable, et hormis que je n'étais pas sur ma brêle habituelle, rien ne se passait mal ou pouvait laisser penser que cela pourrait mal se passer, c'était même à des heures plutôt désertiques, tout ça... !
Mais il se trouve que j'ai placé une léchouille de frein AV pour me placer en entrée d'une très courte courbe, sur un de ces damnés "serpentin" de bitume mou, dont le rôle est de colmater les fissures pour empêcher à l'érosion et au gel de poursuivre leur travail !
J'avais beau être déjà passé à cet endroit un nombre de fois dont la morale réprouve le décompte ou sa simple évocation, ce jour là, je suis passé à quelques centimètres près à un point précis où "non, ça le fait pas" !!!!
J'estime la vitesse résiduelle de l'ensemble "moto + pilote" en pleine glisse par terre à 60/70 kmh à cet endroit, en comptant un léger ralentissement une fois plus sur les roues, après avoir traversé le reste de la chaussée après avoir perdu l'avant avec une soudaineté qui m'a laissé pantois, et par terre !
Ce faisant, la FZR a passé entre la glissière et le sol, changeant un peu ses côtes de largeur au passage et allant terminer sa course une quinzaine de mètre en contrebas dans les arbres... Mais moi je me suis arrêté net sur la glissière, mon dos se chargeant de ça !
Quelques secondes plus tard, je retrouve mes esprits et crache un peu de terre... et me retrouve donc l'air assis au bord de la route.. c'est ainsi qu'un automobiliste bienveillant me trouve, et me propose de me déposer quelque part... poussé par cet instinct aussi curieux qu'irrationnel consistant à se préoccuper plus de sa moto que de soi-même dans pareille situation, je demande à cette personne de me déposer chez le "dépanneur officiel
Une fois arrivé à nouveau sur place avec le dépanneur, celui-ci me suggère de pousser pour garder la moto sur ses roues durant le treuillage (ben, oui, c'est un col, c'est pas plat après la chaussée, les belges peuvent pas comprendre ! MDR) afin de sauver ce qui peut l'être !! Ce que je fais, poussant comme un beau diable de toute mes forces... plusieurs jeunes gars bien intentionnés sortis d'une bagnole viennent me prêter main forte sur les derniers mètres, et me proposent à leur tour de me déposer quelque part...
Je leur demande cette fois de me poser à l'hosto' pour un "check", sait-on jamais... et puis c'est vrai que le temps passant, en refroidissant, ça devient tout de même un peu douloureux, "là derrière"...
Alors hop, admissions, légère attente, puis on vient s'occuper de moi; je ne vous ai pas encore dit la dégaine que j'avais, arf !
A cette époque héroique, on ne peut pas dire qu'on était aussi sensibilisé qu'aujourd'hui sur la qualité de l'équipement... ou de sa présence... ! Oh, j'avais bien "ce qu'il faut" à la maison, des bottes, un cuir, aussi pour les jambes, tout ça.. mais ce jour là, pour un "petit coup" en passant (décidement, les allusions sexuelles sont inévitables dans un récit motard !) j'étais plutôt en tenue légère !
C'est-à-dire en pantalon coton "de ville" léger, T-shirt, petit pull coton le tout recouvert d'un cuir, mais qui n'avait rien de "moto", léger lui aussi et pour couronner le tout, de petites chaussures "Florence Arthaud" pour se ballader sur le pont d'un bâteau !
Cela n'a pas loupé, j'étais en charpilles, mais étonnament, alors qu'il devait bien ne rester que le slibard d'entier (sans doute pour que l'infirmière puisse l'arracher avec les dents !) je n'avais aucune blessure "de surface" !!! Dingue !
Alors bon, la toubib (oui, c'était un modèle femelle, Ghâaahhhhhh !!) m'ausculte un peu dans tous les sens, me palpe (Rhâaahh), bon après elle devient plus déviante, elle me sors un petit marteau pour me taper coudes et genous, salope, elle aurait au moins pu prendre des menottes d'abord, merde, bref elle mentionne toutefois que j'ai un joli arc-en-ciel dans tout le dos (des contusions pour ceux qui ne suivraient pas !) mais ne semble pas vraiment inquiète !
Sans plus de conviction que cela, elle finit tout de même pas me faire m'allonger (je le savais, chienne !) pour me passer des radios "par acquis de conscience"...
Avec tout ça, le temps continue de passer et je commence à avoir un peu de peine à remuer sans que cela devienne un véritable effort... je suis assis sur un petit lit lorsque à quelques mètres de là, observant avec attention les tirages des radios', elle me lance:
"dites-moi, vous avez eu déjà des chutes graves dans votre vie" ? Moi: "euh, à part que j'ai tenté l'escalier avec le déambulateur pour bébé, non, pas vraiment" "non parce que... venez-voir" enchaine-t-elle ! Alors moi, grimaçant cette fois pour la rejoindre devant la tableau lumineux, j'arrive et elle me montre: "tenez, là, par exemple, il y deux vértèbres collées, c'est très probablement depuis la naissance, mais voyez ces deux là, elles sont fracturées !!"
A cet instant précis, tout ce que vous avez toujours entendu dire sur "fracture des vértèbres" vous remonte à la gueule en un instant, comme un Tsunami !! La vérité étant qu'elles étaient certes fracturées (on distinguait la ligne de fracture) mais aucunement déplacées ! N'empêche, pour compenser le beau bleu-vert de mon dos, j'ai du passer au blanc soutenu tout de suite !!
Là, les choses s'enchainent assez vite, elle me dit que je vais rester sur place, deux infirmiers viennent me convoyer sur ce petit lit jusqu'à une chambre - vue coté lac et pas coté col, dommage... arf !! - pour me transférer sur un plus grand lit... mais avant, je les vois s'afférer... ils ôtent le matelas, pour le remettre après avoir posé une grande planche dessous, débranchent soigneusement les commandes du lit, celles qui le font bouger dans tous les sens... dommage, ils sont peu joueurs !!! Et finissent par m'y installer non sans m'avoir collé une minerve pour le compte... Pas encore trop le temps de cogiter, la toubib de l'accueil passe brièvement pour me dire que le docteur responsable passera me voir le lendemain matin.. et de me préciser: "il ne faut pas bouger d'accord !?"
Là, l'attente commence... comme nous sommes vendredi soir, ça a pas raté, le toubib n'est pas passé le lendemain... mais le jour suivant... alors le lendemain, une fois "tout-à-fait refroidi", j'ai pu constater que le conseil de la toubib était bien superflu: même si je le voulais, je ne POUVAIS pas bouger....
Je ne m'en étais pas vraiment rendu compte le soir avant, parce que bon an mal an, avec tout ça, je m'étais endormi assez vite.
Mais là... j'avais tout mon temps pour cogiter, comme un con dans mon plumard, tout seul à retourner dans tous les sens la portée de cette simple constatation: "je ne pouvais pas bouger"... et de repenser que c'était dû aux vértèbres fracturées... et aux suites possibles... (ils font des fauteuils en carbone avec freins à disques j'espère.. !?) (Ndr: rajout anachronique sur ce coup-là, arf !)
Il s'avèrera que c'était une réaction tout ce qu'il y avait de plus normale au choc encaissé, et qu'il n'allait y avoir aucune conséquence, ce que vous savez sinon je ne serais pas encore là à tirer sur une allemande...
Mais il reste que ces moments ont été assez... hum... voyez... peu agréables !
Vous imaginez sans peine le cortège de remarques toutes faites dans la famille, les "depuis le temps qu'on te dit que tu pourrais te tuer avec cette moto", les "cette fois ça va te servir de leçon.." et j'en passe...
Certes, la suite de la saison s'est déroulée avec un peu plus de mollesse que d'accoutumée, une fois capable de remonter sur la selle... Mais aussi, j'en ai été quitte pour poser 10'000.- balles (40'000.- Francs français à l'époque... la moto était à peine rôdée) sur la table de mon frangin... je crois qu'il est reparti ensuite de chez le concess' avec une V-Max si je me souviens bien.. arf !
Mais la suite donnera bien tort à tous ces "gâcheurs de métiers"... Arf... la suite, justement... au prochain épisode !
_________________
C'était beau, ça passait !
Le Gnac- Repère de Freinage
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Re: Rataklang, klong, badang, scrouitch !
Et bien mon petit gnacou , tu l'as échappé belle sur ce coup là . Mais, dis moi, tu nétais pas un peu piqué à la sauce " minet de kéké" dans ta prime jeunesse ?
goumise- Première Ligne
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Re: Rataklang, klong, badang, scrouitch !
le gnac un keke en puissance 10
charlier- Age : 51
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Re: Rataklang, klong, badang, scrouitch !
En 91, j'allais assez souvent à proximité de Genève rendre visite à une demoiselle et je connais un peu ces cols.
Mais je n'ai pas le souvenir d'y avoir vu un Suisse rapide.
C'est vrai que je n'ai pas regardé derrière les rails
Un jour de chance finalement, les rencontres avec un rail ne finissent pas toujours aussi bien!
Mais je n'ai pas le souvenir d'y avoir vu un Suisse rapide.
C'est vrai que je n'ai pas regardé derrière les rails
Un jour de chance finalement, les rencontres avec un rail ne finissent pas toujours aussi bien!
flatsport- Coach
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Re: Rataklang, klong, badang, scrouitch !
il faudrait en parler à fab, lui doit connaitre le rail d'ouessant
barty- Age : 64
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Re: Rataklang, klong, badang, scrouitch !
Bon, elles sont toutes intelligentes ces gamelles....Moi, j'en ai une vraiment moins glorieuse : celle de mes 16 ans et demi, permis "A" toutes cylindrées en poche (heureuse époque !), avec ma première moto, une anglaise, faute de sous pour m'acheter une japonaise, trop chères...Mon anglaise datait de 1961, achetée 1 000 Francs de l'époque (c'était en 1973), cubait 250 cm3, sortait 15 Cv avec le son "pot saucisson" quasi vide, et prenait 120 km/h...quand elle voulait bien.
Un jour, je sors ma BSA (4 vitesses à droite, 1ére en haut...) sur une belle départementale gravillonée de Normandie, un peu humide. Arrive un beau virage à gauche bien serré...La BSA, ce jour là, marchait fort, et vraiment, j'allais trop vite pour le dit virage. Il faut dire que le frein avant était un tout petit simple came très mou. Mais l'arrière bloquait bien la roue. Et là, donc, je freine, fort...des deux freins. Sauf que sortant de mon permis 15 jours avant sur une CB 250 Honda à frein arrière à droite (comme toute le monde, sauf en Albion...), ni une ni deux, freinage réflexe, je crois écraser la pédale de frein...mais c'était le sélecteur...Sinistre craquement mécanique, blocage instantané de la roue arrière, et longue longue glissade sur le flanc...qui se termine par un vol peu planant sur le talus bien droit du virage....Là, miracle, le Beau Cromwell tout neuf fait son office : je cogne fort la tête sur le goudron (ou plutôt le bol british cogne...) je reste vautré sur le dos un bon moment, des étoiles plein les yeux, mon anglaise couchée sur le flanc avec le réservoir qui se vide goulument sur les gravillons...le bouchon avait sauté (je l'ai retrouvé 10 mètres plus loin). Ces bouchons de réservoir british étaient simplement enfonçés en force sur le réservoir (même pas vissés, juste enfonçés !).
Bon, je la relève, cahin-caha, le Cromwell un peu de travers, et j'ai pu repartir avec un guidon bizarre, un sélecteur tordu, le réservoir presque vide..et bosselé, et des bleus partout, pas très fier de moi (ouf ! pas de témoins...)
J'ai encore ce casque "Bol" et son trou éraflé à l'arrière : je ne dis jamais de mal de ces casques tant décriés avec l'arrivée de l'intégral dans les années 1975, et j'ai eu bien du mal à m'en acheter un, d'intégral, longtemps, longtemps après, quand tous mes copains motards, plus tard, me traitaient de ringard nostalgique - et les Climax qui allaient avec - à cause de ce casque...dont je ne pouvais plus me passer...
J'y pense souvent aujourd'hui quand j'enfile mon Shoei dernier cri...
Un jour, je sors ma BSA (4 vitesses à droite, 1ére en haut...) sur une belle départementale gravillonée de Normandie, un peu humide. Arrive un beau virage à gauche bien serré...La BSA, ce jour là, marchait fort, et vraiment, j'allais trop vite pour le dit virage. Il faut dire que le frein avant était un tout petit simple came très mou. Mais l'arrière bloquait bien la roue. Et là, donc, je freine, fort...des deux freins. Sauf que sortant de mon permis 15 jours avant sur une CB 250 Honda à frein arrière à droite (comme toute le monde, sauf en Albion...), ni une ni deux, freinage réflexe, je crois écraser la pédale de frein...mais c'était le sélecteur...Sinistre craquement mécanique, blocage instantané de la roue arrière, et longue longue glissade sur le flanc...qui se termine par un vol peu planant sur le talus bien droit du virage....Là, miracle, le Beau Cromwell tout neuf fait son office : je cogne fort la tête sur le goudron (ou plutôt le bol british cogne...) je reste vautré sur le dos un bon moment, des étoiles plein les yeux, mon anglaise couchée sur le flanc avec le réservoir qui se vide goulument sur les gravillons...le bouchon avait sauté (je l'ai retrouvé 10 mètres plus loin). Ces bouchons de réservoir british étaient simplement enfonçés en force sur le réservoir (même pas vissés, juste enfonçés !).
Bon, je la relève, cahin-caha, le Cromwell un peu de travers, et j'ai pu repartir avec un guidon bizarre, un sélecteur tordu, le réservoir presque vide..et bosselé, et des bleus partout, pas très fier de moi (ouf ! pas de témoins...)
J'ai encore ce casque "Bol" et son trou éraflé à l'arrière : je ne dis jamais de mal de ces casques tant décriés avec l'arrivée de l'intégral dans les années 1975, et j'ai eu bien du mal à m'en acheter un, d'intégral, longtemps, longtemps après, quand tous mes copains motards, plus tard, me traitaient de ringard nostalgique - et les Climax qui allaient avec - à cause de ce casque...dont je ne pouvais plus me passer...
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APEMA- Age : 68
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Humeur : pas mauvaise
Re: Rataklang, klong, badang, scrouitch !
Et bien pour moi, ma première gamelleà moto n'est pas mieux. C'étais en 1975 ,quelques jours aprés l'obtention de mon permis de conduire. Mes parents habitaient une ancienne maison sur le haut d'un village ,et on y accèdait par une route étroite et de forte inclinaison longée de chaques cotés par un mur de pierres .Une centaine de métres avant d'arriver à la maison familliale, la route s'élargissait et tournait vers la gauche .
Pour la pause de midi , je rentrais pour déjeuner en famille, mais le repas ne s'éternisait pas, j'avais pris l'habitude de vite me faire une petite montée d'un col avant de retourner au turbin .
Ce jour là donc ,je saute sur ma Suzuki GT 250 et GAAZZZ !!!pas de temps a perdre .Arrivé à la hauteur du dit virage ,je pose la roue avant,de ma Souze et là je me trouve face à une ENORME voiture..... Je sers au max à droite , au ras du mur et attrape ( des deux mains) le levier de droite , vous savez, celui qui actionne la pince de frein de la roue avant .Et là , vous me croirez ou pas , je ne touche ni la caisse , ni le mur. Par contre le gravier qui ne manquait pas de se trouver là ne me fait aucun cadeaux , et je me répands lamentablement sur le bitume bien rugueux de la route . Le conducteur ou trice ??? de la voiture ne c'est même pas arrêté.
Résultat des courses , un guidon plié , le coté gauche de ma belle Souze bien rapé et quelques pansements par ci-par là .
Ha , j'oubliais , ce jour là , j'étais à l'heure au boulot !
Pour la pause de midi , je rentrais pour déjeuner en famille, mais le repas ne s'éternisait pas, j'avais pris l'habitude de vite me faire une petite montée d'un col avant de retourner au turbin .
Ce jour là donc ,je saute sur ma Suzuki GT 250 et GAAZZZ !!!pas de temps a perdre .Arrivé à la hauteur du dit virage ,je pose la roue avant,de ma Souze et là je me trouve face à une ENORME voiture..... Je sers au max à droite , au ras du mur et attrape ( des deux mains) le levier de droite , vous savez, celui qui actionne la pince de frein de la roue avant .Et là , vous me croirez ou pas , je ne touche ni la caisse , ni le mur. Par contre le gravier qui ne manquait pas de se trouver là ne me fait aucun cadeaux , et je me répands lamentablement sur le bitume bien rugueux de la route . Le conducteur ou trice ??? de la voiture ne c'est même pas arrêté.
Résultat des courses , un guidon plié , le coté gauche de ma belle Souze bien rapé et quelques pansements par ci-par là .
Ha , j'oubliais , ce jour là , j'étais à l'heure au boulot !
goumise- Première Ligne
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Humeur : Au beau fixe
Re: Rataklang, klong, badang, scrouitch !
salut
des gamelles j en ais pris en mobylette et des fameuses,surtout une l automne 1973,je fonçais dans les tas de feuilles mortes que faisaient les cantonniers ;Sauf qu un jour ils avaient fait un tas de feuilles contre un banc en béton et moi bien sur quand j ais essayé de traverser le tas de feuilles ..........
resultat la mob pliée et moi a l hosto et le banc n a rien eu
des gamelles j en ais pris en mobylette et des fameuses,surtout une l automne 1973,je fonçais dans les tas de feuilles mortes que faisaient les cantonniers ;Sauf qu un jour ils avaient fait un tas de feuilles contre un banc en béton et moi bien sur quand j ais essayé de traverser le tas de feuilles ..........
resultat la mob pliée et moi a l hosto et le banc n a rien eu
Nenesse- Première Ligne
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Re: Rataklang, klong, badang, scrouitch !
Les cantonniers ont dû en avoir marre de voir un petit con mettre en l'air leur boulot. Mais avec un banc en béton en guise de piège, ils n'ont pas fait dans le light!
flatsport- Coach
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Re: Rataklang, klong, badang, scrouitch !
flatsport a écrit:Les cantonniers ont dû en avoir marre de voir un petit con mettre en l'air leur tas de feuilles de bouleau. Mais avec un banc en béton en guise de piège, ils n'ont pas fait dans le light!
d'où l'expression se foutre au tas
ils ont pensé que le mobylettiste était dur de la feuille
bon si tu ne t'es pas fait trop mal , c'est déjà çà
barty- Age : 64
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Re: Rataklang, klong, badang, scrouitch !
ouais peut etre que c etait un "piege"
j ais rien eu de cassé mais j ais tapé la tete (le casque me protegeais un coude)donc quelques jours dans le cirage
Mais je n ais pas de sequelles enfin je crois; parce que ma gonzesse c est pas ce qu elle dit
j ais rien eu de cassé mais j ais tapé la tete (le casque me protegeais un coude)donc quelques jours dans le cirage
Mais je n ais pas de sequelles enfin je crois; parce que ma gonzesse c est pas ce qu elle dit
Nenesse- Première Ligne
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Re: Rataklang, klong, badang, scrouitch !
ho les femmes si tu écoutes tout tu finis homo
barty- Age : 64
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Re: Rataklang, klong, badang, scrouitch !
mais la gamelle qui m as fait le plus mal c est le jour ou j ais passé(raté) le permis moto a l epreuve rapide avec freinage au bout et bien j ais tellement freiné que j ais bloqué et je me suis mis par terre j etais en chemise donc j ais eu 18 points de sutures au coude droit j avais arraché un bout de viande
je devais aller au bol au Ricard la semaine suivante, ma moto m attendais dans le garage et moi je pleurais des larmes de rage, tout s ecroulais c etait la fin du monde
je devais aller au bol au Ricard la semaine suivante, ma moto m attendais dans le garage et moi je pleurais des larmes de rage, tout s ecroulais c etait la fin du monde
Nenesse- Première Ligne
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Re: Rataklang, klong, badang, scrouitch !
pourquoi donc, moi j'ai roulé quasi 18 mois en 750cc assuré, carte grise ok, mais j'avais oublié de passé le A, j'avais juste le petit a1 (125cc)
me suis fait controlé 3 fois par les mibs, j'ai jamais pris de pv
maintenant, y z'appeleraient le raid , le gign etc............
me suis fait controlé 3 fois par les mibs, j'ai jamais pris de pv
maintenant, y z'appeleraient le raid , le gign etc............
barty- Age : 64
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Re: Rataklang, klong, badang, scrouitch !
je pouvais pas me servir de mon bras droit ;;; en plus
Nenesse- Première Ligne
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Re: Rataklang, klong, badang, scrouitch !
Il faut dire qu'à l'époque il y a eu tellement de modif au niveau des permis moto que les flics n'y comprennaient plus rien.
Mon ex femme détenait le permis A2 (400 cm3). A la disparition de ces permis, il lui a suffit de faire une déclaration sur l'honneur certifiant qu'elle avait roulé deux ans pour obtenir le nouveau permis A toutes cylindrées qui remplcait le A3 ( plus de 400 cm3).
Mon ex femme détenait le permis A2 (400 cm3). A la disparition de ces permis, il lui a suffit de faire une déclaration sur l'honneur certifiant qu'elle avait roulé deux ans pour obtenir le nouveau permis A toutes cylindrées qui remplcait le A3 ( plus de 400 cm3).
flatsport- Coach
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Re: Rataklang, klong, badang, scrouitch !
en 78/79 il n'y avait pas x permis moto
mais comme en 2ème job je bossais pour un consulat à lyon, j'avais un laisser passer off taille carte identité de maintenant avec photo, et acréditation en tant que personnel permanent, je rengeais ma carte dans mon permis, quant un mib le controlait, la carte tombait par terre après le mec il ne regardait plus le 3 volets rose
et comme je restait poli et courtois quant on me faisait une réflexion je répondais penaut, excusez moi m'sieux suis en train de le passer et je faisais un p'tit tour avec ma guzz
c'était une autre époque, maintenant tu fais ça tu te retrouve enfermé avec les traficos etc..........
mais comme en 2ème job je bossais pour un consulat à lyon, j'avais un laisser passer off taille carte identité de maintenant avec photo, et acréditation en tant que personnel permanent, je rengeais ma carte dans mon permis, quant un mib le controlait, la carte tombait par terre après le mec il ne regardait plus le 3 volets rose
et comme je restait poli et courtois quant on me faisait une réflexion je répondais penaut, excusez moi m'sieux suis en train de le passer et je faisais un p'tit tour avec ma guzz
c'était une autre époque, maintenant tu fais ça tu te retrouve enfermé avec les traficos etc..........
barty- Age : 64
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Re: Rataklang, klong, badang, scrouitch !
flatsport a écrit:Les cantonniers ont dû en avoir marre de voir un petit con mettre en l'air leur boulot. Mais avec un banc en béton en guise de piège, ils n'ont pas fait dans le light!
barty a écrit:flatsport a écrit:Les cantonniers ont dû en avoir marre de voir un petit con mettre en l'air leur tas de feuilles de bouleau. Mais avec un banc en béton en guise de piège, ils n'ont pas fait dans le light!
d'où l'expression se foutre au tas
ils ont pensé que le mobylettiste était dur de la feuille
bon si tu ne t'es pas fait trop mal , c'est déjà çà
Wouuuaahhahahahahahahaaa !!!!!
Alors celle-là est d'office dans le "top 3" des gamelles les plus hallucinantes, mention spéciale JBT !!!!!!
Trop, trop fort.... Ceci dit, à parler d'époque héroique (mob) et de feuille, à 14 ans en sortant du lycée, je prends un virage à 90° un peu "komifô", surtout qu'il y avait des nanas' qui étaient sur le trottoir - regardez-donc ce que c'est un bel angle, gentes damoiselles, ai-je du me dire alors - mais "oublies" un peu la présence un peu soutenue de feuilles dont la présence n'avait rien d'étonnant à cette saison là !
La sanction fut bien-sûr immédiate !!!!!
Moralité: "un petit moment de honte est vite passé" !!!
Avec le recul, je me dis que mes déviances variées ne pouvait qu'être génétique ???
Je sais que c'est moi qui ai ouvert le topic, mais je demande toutefois à la cantonnade s'il serait bien raisonnable de faire dans l'hypnose régressive au point de parler des gamelles en vélo ????
MDR !!
_________________
C'était beau, ça passait !
Le Gnac- Repère de Freinage
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Localisation : Genève, Suisse
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Humeur : Planquez tout, je suis de retour !!!
Re: Rataklang, klong, badang, scrouitch !
C'est pas tout ça, mais je vous disais qu'il y avait une suite à mes expérimentations sur mes vértèbres !
Je vous redonnerai pas le détail du lieu, j'ai réussi à être bref lorsque je vous parlais de ma chute en FZR600 en 1991 et ne voudrais pas manquer à cette tradition de brièveté et de concision !!!!
Dites-vous simplement que c'est pil poil une année après, et pil poil un virage plus tard dans la même descente..
Je ne vous rappelerai pas non plus le facteur d'appréciation de la famille quand à mes frasques motocyclistes et corporelles, ni la raison de ma présence sur cette fameuse route de "Nyon / St-Cergue" entre Léman et Jura !
Or donc, ce jour là, je faisais "tranquille pénard" une descente propre de ce col, lorsque je tombe (non, pas maintenant, plus tard... arf) sur une bande de "grossiers tout pas propres en japo-niaises" !
Bien-sûr, il s'agira comme d'accoutumée de laver l'affront consistant à trainer négligeamment sur MES trajos dans MON col, foutrediable !!!
Chose aisée sur les deux-premiers, mais le dernier, au guidon d'une VFR 750 (seconde du nom), non pas qu'il soit plus "propre" que ses copains, non, du tout, mais il fait un large usage de la puissance de son V4, en même temps que d'un nombre hallucinant de trajos "coupées" (on est sur la route, rappelons-le..), pour compenser son pilotage calamiteux !
Bien-sûr, au guidon de la K 75 S, on a beau faire, lorsque on bouchonne comme un porc et qu'on fout du gros gaz à chaque fois qu'on se retrouve - enfin - à moins de 20° d'angle... ça laisse peu de place à l'improvisation et il faut trouver "le bon endroit"...
J'aurais probablement réussi à "lui expliquer" plus tard avant la fin de la descente, si.... oui il y a un SI ! .. si donc en montant un peu le niveau de crispation je n'avais pas un poil raté un rétrogradage et que le cardan n'avait pas pour cette fois manifesté toute sa désapprobation !
Bien-sûr, c'est parti en virgule, ça a raccroché, et ça a fait "PAF" de l'autre coté....
Bilan: un coté complet sur la béhème et une clavicule en drapeau de mon coté !!!!!!
Alors bon... grosso-modo mon concess' à moitié étonné se chargera de remettre à neuf la brêle, toujours ça de fait, c'est pour ça que c'est toujours une bonne chose de tomber, car avec le temps il y a des petites griffures, tout ça, et rien de plus efficace que quelques belles pièces neuves recouvertes d'une belle peinture fraiche pour effacer tout ça !!!!!
MDR !!!! aujourd'hui, on appelerait ça du "lifting" !!!
Quelques petites semaines plus tard, toujours en train de porter une sorte d'attelle supposée tirer mes épaules en arrière pour permettre une calcification plus ou moins dans la bonne position pour la clavicule, je me retrouve tout de même avec un pote à Zermatt (mais si, vous savez, en-dessous du Cervin) à faire du VTT !!!!
Je dois reconnaitre qu'à un moment, je me suis demandé si c'était bien raisonnable, surtout lorsque la roue avant s'étant logée brusquement dans le lit d'un filet d'eau traversant le paysage, je me suis retrouvé à l'exacte verticale du moyeu de roue, bien en appui sur les bras... et les clavicules !!!!
Bah... l'insouciance de la jeunesse....
Bien-sûr, la calcification a pris sa propre voie après... et aujourd'hui encore, on voit très bien la "boule" entourant la fracture.. ça le ferait pas trop sur la clavicule d'une fille.... Arf !!
(elle portent moins bien les boules en général !!!!)
Allez, ce sera tout pour cette fois... je ne voudrais pas passer pour un tombeur !!!!!!
Je vous redonnerai pas le détail du lieu, j'ai réussi à être bref lorsque je vous parlais de ma chute en FZR600 en 1991 et ne voudrais pas manquer à cette tradition de brièveté et de concision !!!!
Dites-vous simplement que c'est pil poil une année après, et pil poil un virage plus tard dans la même descente..
Je ne vous rappelerai pas non plus le facteur d'appréciation de la famille quand à mes frasques motocyclistes et corporelles, ni la raison de ma présence sur cette fameuse route de "Nyon / St-Cergue" entre Léman et Jura !
Or donc, ce jour là, je faisais "tranquille pénard" une descente propre de ce col, lorsque je tombe (non, pas maintenant, plus tard... arf) sur une bande de "grossiers tout pas propres en japo-niaises" !
Bien-sûr, il s'agira comme d'accoutumée de laver l'affront consistant à trainer négligeamment sur MES trajos dans MON col, foutrediable !!!
Chose aisée sur les deux-premiers, mais le dernier, au guidon d'une VFR 750 (seconde du nom), non pas qu'il soit plus "propre" que ses copains, non, du tout, mais il fait un large usage de la puissance de son V4, en même temps que d'un nombre hallucinant de trajos "coupées" (on est sur la route, rappelons-le..), pour compenser son pilotage calamiteux !
Bien-sûr, au guidon de la K 75 S, on a beau faire, lorsque on bouchonne comme un porc et qu'on fout du gros gaz à chaque fois qu'on se retrouve - enfin - à moins de 20° d'angle... ça laisse peu de place à l'improvisation et il faut trouver "le bon endroit"...
J'aurais probablement réussi à "lui expliquer" plus tard avant la fin de la descente, si.... oui il y a un SI ! .. si donc en montant un peu le niveau de crispation je n'avais pas un poil raté un rétrogradage et que le cardan n'avait pas pour cette fois manifesté toute sa désapprobation !
Bien-sûr, c'est parti en virgule, ça a raccroché, et ça a fait "PAF" de l'autre coté....
Bilan: un coté complet sur la béhème et une clavicule en drapeau de mon coté !!!!!!
Alors bon... grosso-modo mon concess' à moitié étonné se chargera de remettre à neuf la brêle, toujours ça de fait, c'est pour ça que c'est toujours une bonne chose de tomber, car avec le temps il y a des petites griffures, tout ça, et rien de plus efficace que quelques belles pièces neuves recouvertes d'une belle peinture fraiche pour effacer tout ça !!!!!
MDR !!!! aujourd'hui, on appelerait ça du "lifting" !!!
Quelques petites semaines plus tard, toujours en train de porter une sorte d'attelle supposée tirer mes épaules en arrière pour permettre une calcification plus ou moins dans la bonne position pour la clavicule, je me retrouve tout de même avec un pote à Zermatt (mais si, vous savez, en-dessous du Cervin) à faire du VTT !!!!
Je dois reconnaitre qu'à un moment, je me suis demandé si c'était bien raisonnable, surtout lorsque la roue avant s'étant logée brusquement dans le lit d'un filet d'eau traversant le paysage, je me suis retrouvé à l'exacte verticale du moyeu de roue, bien en appui sur les bras... et les clavicules !!!!
Bah... l'insouciance de la jeunesse....
Bien-sûr, la calcification a pris sa propre voie après... et aujourd'hui encore, on voit très bien la "boule" entourant la fracture.. ça le ferait pas trop sur la clavicule d'une fille.... Arf !!
(elle portent moins bien les boules en général !!!!)
Allez, ce sera tout pour cette fois... je ne voudrais pas passer pour un tombeur !!!!!!
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Re: Rataklang, klong, badang, scrouitch !
tu n as pas une histoire ou tu te casse pas la gueule en moto. ah oui on a sucrer ton permis maintenant les statistiques d accident de moto sont en baisse en suisse
charlier- Age : 51
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Re: Rataklang, klong, badang, scrouitch !
charlier a écrit:tu n as pas une histoire ou tu te casse pas la gueule en moto. ah oui on a sucrer ton permis maintenant les statistiques d accident de moto sont en baisse en suisse
Quelle mauvaise langue!
flatsport- Coach
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Humeur : sportive
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